Les tenants du colonialisme qui espèrent profiter de la guerre d’Algérie pendant encore de longs mois, les comploteurs - plastiqueurs - fascistes, pressent le gouvernement français d’intensifier la guerre.
En France, cette intensification s’est traduite par des mesures de répressions policières encore jamais connues. Prenant prétexte du juste châtiment de quelques policiers - bourreaux dont nous dénonçons par ailleurs les crimes inqualifiables - le préfet de police de la Seine qui envie les lauriers sanglants de Massu se prépare à une nouvelle " bataille d’Alger ".